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al mechouar ( fedan )
18/06/2006 01:00
C’est en 1912 que commence le protectorat établis par les Espagnols. Il s’étalera sur une période de quarante ans jusqu’à l’indépendance du Maroc en 1956. Tétouan se caractérise par son influence andalouse. L’un des attraits principaux est la médina avec ses maisons blanches et ses toits en céramique verts. Beaucoup de boutiques et d’édifices religieux composent cette ville située au pied des montagnes du rif.
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Tétouan fut fondée au III siècle av.J.C. par les mauritaniens qui lui donnèrent le nom de Tamuda. Au Ier siècle, la ville passe aux mains des romains qui en font une ville fortifiée. Au XIV siècle, la dynastie des mérinides s’empare du contrôle de Tamuda et bâtit la nouvelle ville Tétouan. Mais son instabilité due à une influence grandissante des pirates et des rebelles entraîne la destruction de Tétouan par Henri III de Castille en 1399. La population de Tétouan s’agrandit et devient au XVIème siècle majoritairement musulmane et juive. La piraterie disparaît mais la prospérité de Tétouan liée à l’activité pirate décline. Au XVII siècle, la ville occupée par les Espagnols pendant trois ans accroît son activité grâce aux échanges commerciaux avec l’Espagne. Elle devient en 1913 une ville de protectorat espagnol jusqu’à l’indépendance du Maroc en 1956. Tetouan, capitale des arts classiques et des traditions cuturelles arabo-andalouses. Son histoire est jalonnée d’événements qui confirme ce statut internationalement reconnu pour la colombe du nord. Des raisons socio-historiques sont souvent avancées pour expliquer le penchant avéré des Tétouanais pour l’art arabo-islamique. Les origines de la ville se perdent dans la nuit des temps, les objets extraits des fouilles datent du IIIème siècle avant notre ère et proviennnent de la ville antique de Tamuda. Les Phéniciens quant à eux établirent en leur temps un comptoir à l’embouchure de l’Oued Martil. C’est en 1307 que le sultan mérinide Abou Thabet fit construire la ville fortifiée de Tétouan. Le but avoué de ce sultan était d’y construire une base avancée susceptible de récupérer Sebta. Peuplée de soldats, la ville devint rapidement un nid de redoutables corsaires. Face à leurs incessantes attaques, les Espagnoles débarquèrent à Tétouan et la détruisirent en représailles. En 1492, la chute de Grenade chasse du Sud de l’Espagne des milliers d’émigrés musulmans qui s’installèrent sur les ruines de la ville : elle renaît alors de ses cendres et connaît un essort fastueux. Sous le règne de Moulay Ismaïl au XVIIIème siècle, Tétouan connaît un nouveau développement économique dû à ses nombreux échanges avec l’occident.
Elle occupe aux yeux des spécialistes la première place de toutes les médinas du Maroc. C’est dire son importance, sa qualité et le soin apportés à ne jamais pervertir son authenticité. Elle a conservé une âme andalouse qui fait d’elle la plus hispano-mauresque des villes marocaines. Pour y accéder, il suffit de vous rendre sur la place Hassan II (Feddane) ; à l’Est de cette place, sous une porte, débute la rue Hadj Ahmed Torres qui débouche dans la médina. Le style hispano-mauresque prend ici toute sa dimension, notamment dans les quartiers d’habitation où les grilles en fer forgé des fenêtres donnent toute leur expression à ces épaisses façades immaculées.
Charmante petite place plantée de quelques arbres où vous pourrez goûter des yeux la beauté des poteries exposées sur les étalages. A quelques mètres de là, la rue des bijoutiers dévoile ses multiples charmes, sous forme de pièces d’artisanat susceptibles de faire succomber les plus exigeants.
C'est le marché des tissus. Dans la Médina de Tétouan, la Guersa el Kébira est le domaine des marchand de tissus et de vêtements. Les étoffes chamarrées, unies, précieuses et bordées sont un véritable émerveillement. Les couleurs et les matières semblent variées à l’infini et composent sous vos yeux un tableau vivant. Au centre de la place, des femmes du Rif, vêtues de leur costume sont assises derrière des étalages bondés de pièces de tissus rayés rouge, blanc et bleu.
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Sa fontaine de mosaïque, ses maisons blanches et son magnifique rosier vous renderont l’énergie nécessaire à la poursuite de la visite. En revenant vers la place Hassan II (Feddane), vous remarquerez le Palais Royal bâti au XVIIème siècle. Les importants travaux de restauration qu’il a dû subir au début du XXème siècle n’altérèrent en rien son caractère hispano-mauresque. De nombreux ateliers ouverts à votre visite perpétuent la tradition du geste et de l’ouvrage soigné à de nombreux enfants très motivés. Ils apprennent ici le tissage, la dinanderie, la gravure sur métaux, le travail et la peinture du bois, la mosaïque ou la céramique pour que vive la tradition. Les souks de Tétouan rivalisent avec ceux des autres villes. Le souk El Foki est connu sous le nom de "place au pain". Au milieu, de nombreux étals vous proposent les traditionnelles miches rondes et plates qui dégagent une délicieuse odeur dans tout le quartier. Sur la place Al Jala se dresse le musée archéologique où repose l’histoire antique de la cité : mosaïques de luxe, figurines romaines en bronze, statuettes de déesses, collections numismatiques de la période punique.... En empruntant la route en direction de Sebta, de nombreuses plages de sable doré sont aménagées ainsi que de nombreux hôtels qui ont été conçus avec un souci constant d’intégration dans le paysage. Les restaurants et les clubs de vacances sont nombreux. Offrez-vous le plaisir de déguster à deux pas de la plage superbe, un magnifique poisson, fraîchement sorti de la mer par ces pêcheurs qui affrontent la mer sur des frêles esquis ou taganabout. Vous pourrez sans aucun doute passer quelques agréables jours de détente en bord de mer, à Cabo Negro, à Kabila, ou à Marina-Smir, par exemple.
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5asa
18/06/2006 00:57
Tetouan
Capital of Northern Morocco, Tetouan is situated in the midst of greenery. A belt of orchards, planted with orange, almond, pomegranate and cypress trees, encompasses dazzlingly white houses that cling to the Dersa hillside.
Nearby the somber, dim Rif Mountains emphasize the pleasant colours of the urban site that dominates the fertile Martil Valley.
Founded around 1305 by the Merinid Abou Tabit, the town served as a base for operations against Sebta and Later became a pirates lair. The Spanish made life difficult in Tetouan and finally destroyed it.
However, the town was repopulated in the 16th century by the Moslems and the Jews who had been chased away from Andalusia.
The town prospered under the reign of Moulay Ismail.
Like Rabat, Fes and Sale, Tetouan is a "hedrya" town; that is, a centre of culture and refinement.
The streets wind among bluish white walls to open on to small squares, centers of intense activity. Early in the morning country women arrive to sell their wares. Enveloped in candy-striped clothes, wearing gaiters laced to the knee, and wide-brimmed straw hats decorated with pompoms, they offer butter, honey, vegetables and herbs to a lively, hurrying clientele.
Hassan II Square, situated at the point where the old and modern parts of the town converge, constitutes the heart of the city. Reminiscent of Andalusia with its kiosks, fountains and flower boxes, the square remains an ideal meeting point for afternoon strollers. Introduced at the time of the Spanish Protectorate, modern life continues to attract strolling crowds. Buildings with wrought iron balconies and shop windows filled with imported commodities fascinate the crowds of passersby.
Tetouan deserves its reputation as a cultural centre. The town contains many monuments: a fort, walls with well preserved fences, a number of mosques, fountains, foundouks and, last but not least, the Khalifa's old palace which used to be the residence of his Majesty's representative at the time of the Protecorrate. The palace was built in the 1 7th century but was renovated and restored in 1948 in such a way that it retains its character and is an ideal example of Hispano-Mauresque architecture.
Two museums, a conservatory, a College of Fine Arts and a School of Moroccan Art are among the cultural establishments that Tetouan can be proud of.
Still, the most fascinating thing to visit in this beautiful town remains its meandering alleys that sometimes dive under large arches only to reappear in the light of a small square or lead into a dead end.
Each street is occupied by a trade guild. The street of dyers adjoins that of gunsmiths, not far from weavers and jewelers. The babouche manufacturers and leather workers are close to the tanneries and other craft workshops.
Tetouan holds many marvels, maintaining venerable traditions and a way of life that renders the city unique.
Tetouan
Population: 300,000 (main city); 956,000 (est. including suburbs)

History
A lovely white Andalusian city set upon the Mediterranean Sea near Tangier, Tetouan traces its origins back to 3rd century B.C. Then it was a settlement called Tamouda which existed until 42A.D. when it was destroyed by Roman armies.
When the Merinid sultan Abu Thabit constructed a kasbah at Tetouan in 1307, the Muslim city began to find its form. However, as a refuge for Barbary pirates, Tetouan drew the wrath of the Castilian king Henry III whose forces overran the city and sacked it in 1399.
For a century thereafter Tetouan went into a period of decline until coming under the Andalucian influence of refugees from Granada. From 1484 the city took on some of the rich architectural and cultural character of Muslim Spain, traces of which can still be seen today.
In 1913 Tetouan became the capital of Spain's protectorate until independence in 1956.
Tetouan today
Located in an agricultural area, modern Tetouan is a market centre for the surrounding area where grain, livestock, citrus fruit and handicrafts are traded.
In addition, a variety of goods are manufactured in and around the city, including tobacco, soap, matches, building materials and textiles. The town's principal industries are printing, cabinet-making and fish-canning.
Museums - Tetouan
Archaeological Museum
- 2, rue Ben Hussaien
- Tel: (09) 93 20 97
- Built in 1943, this museum features antiquities from sites in northern Morocco including the superb Roman mosaic, The Three Graces. Prehistoric tools, coins, bronzes and pottery are also on display. Most of the figurine collection dates from the First Century A.D. The museum also houses a library of over 60,000 volumes dedicated to the preservation of North African literature.
- Avenue Skala Bab El Oukla
- Tel: (09) 97 05 05
- Once the fortress of Sultan Moulay Abderrahman, the Ethnographic Museum was established in this fabulous structure in 1948. Moroccan customs and traditions from marriage ceremonies to the simplest accoutrements of Moroccan living are displayed here.
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tetouan
18/06/2006 00:51
C'est en 1307 que le sultan Mérinide Abou Thabet fit construire la ville fortifiée de Tetouan. Le but avoué de ce sultan était d'y construire une base avancée susceptible de récupérer Sebta. Peuplée de soldats, la ville devint rapidement un nid de redoutables corsaires. Face à leurs incessantes attaques, les Espagnoles débarquèrent à Tetouan et la détruisirent en représailles.
En 1492, la chute de Grenade chasse du Sud de l'Espagne des milliers d'émigrés Musulmans qui s'installérent sur les ruines de la ville: elle renaît alors de ses cendres et connaît un essort fastueux.
Sous le régne de Moulay Ismaïl au XVIIIème siècle, Tetouan connaït un nouveau développement économique dû à ses nombreux échanges avec l'occident.
La médina de Tetouan occupe aux yeux des spécialistes la première place de toutes les médinas du Maroc. C'est dire son importance, sa qualité et le soin apportés à ne jamais pervertir son authenticité.
Ella conservé une âme andalouse qui fait d'elle la plus hispano-mauresque des villes marocaines. Pour y accéder, il suffit de vous rendre sur la place Hassan II (FEDDANE); à l'est de cette place, sous une porte, débute la rue Hadj Ahmed Torres qui débouche dans la médina.
Le style hispano-mauresque prend ici toute sa dimension, notamment dans les quartiers d'habitation où les grilles en fer forgé des fenêtres donnent toute leur expression à ces èpaisses façades immculées.
Le souk El Hots est une charmante petite place plantée de quelques arbres où vous pourrez goûter des yeux la beauté des poteries exposées sur les étalages.
A quelques mètres de là, la rue des bijoutiers dévoile ses multiples charmes, sous forme de pièces d'artisanat susceptibles de faire succomber les plus exigeants. Le souk des tanneurs ou le marché des tissus mérite également votre visite.
Dans la Médina de Tetouan, la Guersa el Kébira est le domaine des marchand de tissus et de vêtements. Les étoffes chamarrées, unies, précieuses et bordées sont un véritable émerveillement. Les couleurs et les matières semblent variées à l'infini et composent sous vos yeux un tableau vivant. Au centre de la place, des femmes du Rif, vêtues de leur costume sont assises derrière des étalages bondés de pièces de tissus rayés rouge, blanc et bleu.
La place de l'Usâa, sa fontaine de mosaïque, ses maisons blanches et son magnifique rosier vous renderont l'énergie nécessaire à la porsuite de la visite.
En revenant vers la place Hassan II (Fedan), vous remarquerez le palais royal bâti au XVIIème siècle. Les importants travaux de restauration qu'il a dû subir au début du XXème siècle n'altérèrent en rien son caractère hispano-mauresque.
De nombreux ateliers ouverts à votre visite perpétuent la tradition du geste et de l'ouvrage soigné à de nombreux enfants très motivés. Il apprennent ici le tissage, la dinanderie, la gravure sur métaux, le travail et la peinture du bois, la mosaïque ou la céramique pour que vive la tradition. Les souks de Tetouan rivalisent avec ceux des autres villes. Le souk El Foki est connu sous le nom de "place au pain". Au milieu, de nombreux étals vous proposent les traditionnelles miches rondes et plates qui dégagent une délicieuse odeur dans tout le quartier.
Sur la place Al Jala se dresse le musée archéologique où repose l'histoire antique de la cité: mosaïques de luxe, figurines Romaines en bronze, statuettes de déesses, collections numismatiques de la période punique....
Martil, situé à 10 kilomètres à l'est de Tetouan est un agréable port de pêche. Sa proximité de la ville de tetouan, ainsi que son cachet, font de Martil une station balnéaire fort agréable.
En empruntant la route en direction de Sebta, de nombreuses plages de sable doré sont aménagées pour votre plus grand plaisir. Les nombreux hôtels semblent avoir été conçus avec un souci constant d'intégration dans le paysage. Les restaurants et les clubs de vacances sont nombreux. Offrez-vous le plaisir de déguster à deux pas de la plage superbe, un magnifique poisson, fraŒchement sorti de la mer par ces pêcheurs qui affrontent la mer sur des frêles esquifs ou taganabout. Vous pourrez sans aucun doute passer quelques agréables jours de détente en bord de mer, à Cabo Negro, à Kabila, ou à Marina-Smir, par exemple.
A 50 Kilomètres au sud de Tetouan, à l'embouchure de l'Oued Laou, nous vous conseillons de faire une halte au village de Tleta de Oued Laou.
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m.a.t
18/06/2006 00:42
Le Wydad, leader de la compétition avec, au compteur, douze points et qui était de repos dimanche dernier, son match contre les FAR ayant été reporté, reçoit l'Olympic de Safi dont les résultats sont des plus “renversants”. En effet, l'équipe safiote qui subit des revers à domicile, les compense par des exploits à l'extérieur.
Face au WAC, encore invaincu en championnat et qui n'a même pas concédé de nul, les hommes d'Aziz Amri réussiront-ils à créer la surprise ? Rien n'est moins sûr lorsqu'on connaît la solidité et l'homogénéité des “Rouges” en ce début de saison.
Les FAR qui ont terminé leur parcours africain par une place en finale de la Coupe de la CAF, se rendront à Tétouan où le Moghreb, revenu avec un excellent nul d'Oujda, piaffe d'impatience d'épingler à son tableau de chasse une formation aussi prestigieuse que celle des militaires. Mais les hommes de M'hamed Fakhir, forts de leur expérience, sont capables d'arracher une victoire fut-ce sur la pelouse du stade Saniet Rmel !
Le CODM, battu in extremis à Salé, recevra la Jeunesse Al Massira encore sous le coup de sa déroute face à l'OCK, et ce, sur la pelouse du stade Cheikh Laghdaf même. Rencontre indécise entre deux formations avides de rachat avec un léger avantage pour les Meknassis qui évolueront à domicile. Le Tihad de Tanger, auréolé par sa brillante victoire au détriment du Tihad de Touarga, ralliera la capitale du Souss où le Hassania d'Agadir dont la rencontre contre le Raja, dimanche dernier, a été reportée, sera appelé à remporter la victoire pour demeurer en bonne position.
Mais le choc de cette sixième journée sera incontestablement la rencontre qui mettra aux prises l'Olympic de Khouribga au Raja de Casablanca en une confrontation au cours de laquelle les Khouribguis chercheront à prendre leur revanche sur les “Verts” qui les avaient battus en finale de la Coupe du Trône en juillet dernier. Alors que les Khouribguis sont en verve et restent sur une brillante victoire ramenée de Laâyoune, les “Verts”, eux, traversent une période creuse consécutive à leur élimination en Champion's League et qui viennent d'être pris en mains par Jamal Sellami.
Le déclic psychologique recherché par les dirigeants rajaouis aura-t-il lieu à Khouribga ? UTS-MCO mettra aux prises deux équipes qui se recherchent encore bien que les résultats des Oujdis soient plus probants que ceux de leurs hôtes. Une rencontre qui nous promet une chaude empoignade.
Le Difaâ d'El Jadida qui a contraint l'Olympic de Safi au nul et qui avait, auparavant, battu le champion en titre, est bien placé pour s'imposer devant une équipe de Khémisset dont les résultats sont en dents de scie.
Le Chabab de Mohammedia visera une première victoire de la saison en recevant l'Association sportive de Salé en un derby des plus incertains.
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